Je veux de l'ultralibéralisme sur mon balcon
Bande originale de ce post : Bouquet de Nerfs - Noir Désir
Soyons sérieux pendant vingt-huit secondes. Mon balcon est peuplé de fleurs luxuriantes. A vrai dire il est peuplé d'un pauvre buisson déshydraté. L'état indécent de celui-ci est la conséquence de mon attitude punissable à son encontre. Car, honnêtement, il ne peut pas s'abreuver seul et il a besoin de mon aide.
Les raisons de ma décision de le laisser s'effondrer sont multiple : fatigue, haine envers son état végétatif, finances restraintes, faim, alcool etc
D'une manière végétale, on peut dire que je représente le peuple en rebellion contre les gourous de l'ultralibéralisme qui les laissent crever, eux et leurs fumisteries et autres bonnes idées, de leur belle mort. Ce système dans sa globalité, c'est mon arbrisseau aux branches ballantes.
Et là intervient un jardinier quelconque, qui symboliquement représente un commentateur quelconque de l'ultralibéralisme. Il est tout comme le jardinier, une conséquence de l'existence même de mon arbre (lui-même présent sur mon balcon par choix. Le mien en l'occurence) Mon jardinier, en bon serviteur de ce pourquoi il existe, est déjà et présupposément prêt à me conseiller de transformer mon balcon en mini forêt tropicale. Ainsi en est-il de mon commentateur ultralibéral (qui, au passage, existe pour et par ce qu'il commente; ce qui n'appelle peut-être pas à une franche objectivité) : "Vous avez une libéralinite ? Vous avez décidé de ne plus m'écoutez ? Alors écoutez-moi : je vais vous prescrire de l'ultralibéralisme jusqu'à nausée."
Je veux de l'ultralibéralisme sur mon balcon.
En fin de compte, nous pouvons sincèrement communiquer à ceux pourquoi notre communication a pu voir le jour, que je suis imbécile car je ne comprends pas grand-chose à l'économie.
C'est une guerre sainte, sans aucun doute, que nous ont lançés des gourous non déclarés.
"S'il arrive qu'un anglais - Vienne me visiter - Dans la métempsychose - Je saurai recevoir je peux lui en faire voir de la sérénité - Et même lui laisser un certain goût de fer - Et ce bouquet de nerfs"
Soyons sérieux pendant vingt-huit secondes. Mon balcon est peuplé de fleurs luxuriantes. A vrai dire il est peuplé d'un pauvre buisson déshydraté. L'état indécent de celui-ci est la conséquence de mon attitude punissable à son encontre. Car, honnêtement, il ne peut pas s'abreuver seul et il a besoin de mon aide.
Les raisons de ma décision de le laisser s'effondrer sont multiple : fatigue, haine envers son état végétatif, finances restraintes, faim, alcool etc
D'une manière végétale, on peut dire que je représente le peuple en rebellion contre les gourous de l'ultralibéralisme qui les laissent crever, eux et leurs fumisteries et autres bonnes idées, de leur belle mort. Ce système dans sa globalité, c'est mon arbrisseau aux branches ballantes.
Et là intervient un jardinier quelconque, qui symboliquement représente un commentateur quelconque de l'ultralibéralisme. Il est tout comme le jardinier, une conséquence de l'existence même de mon arbre (lui-même présent sur mon balcon par choix. Le mien en l'occurence) Mon jardinier, en bon serviteur de ce pourquoi il existe, est déjà et présupposément prêt à me conseiller de transformer mon balcon en mini forêt tropicale. Ainsi en est-il de mon commentateur ultralibéral (qui, au passage, existe pour et par ce qu'il commente; ce qui n'appelle peut-être pas à une franche objectivité) : "Vous avez une libéralinite ? Vous avez décidé de ne plus m'écoutez ? Alors écoutez-moi : je vais vous prescrire de l'ultralibéralisme jusqu'à nausée."
Je veux de l'ultralibéralisme sur mon balcon.
En fin de compte, nous pouvons sincèrement communiquer à ceux pourquoi notre communication a pu voir le jour, que je suis imbécile car je ne comprends pas grand-chose à l'économie.
C'est une guerre sainte, sans aucun doute, que nous ont lançés des gourous non déclarés.
"S'il arrive qu'un anglais - Vienne me visiter - Dans la métempsychose - Je saurai recevoir je peux lui en faire voir de la sérénité - Et même lui laisser un certain goût de fer - Et ce bouquet de nerfs"
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